Première étape :
Pour le 92, avenue Gambetta, un permis de construire est déposé en mairie. Très curieusement, alors que tout est conforme aux règles, le permis est refusé.
Deuxième étape :
Le demandeur, très mécontent, dépose un recours au Tribunal Administratif.
Troisième étape :
Devant la faiblesse de tous les arguments municipaux, ledit Tribunal enjoint la mairie à accorder ce permis. Et… la condamne à verser 1 500,00 € (mille cinq cents) au demandeur du permis. Ça ne la dérange pas : c’est l’argent du contribuable ! Le même argent qui rétribue les avocats choisis par la mairie pour défendre ses âneries !
Cependant une question de fond demeure : pourquoi ce permis a-t-il été refusé ? Pourquoi certains promoteurs immobiliers sont-ils rejetés et d’autres accueillis à bras ouvert ? That is the question…
Aimé de Laville